Amélie Decoux

En quelques mots, peux-tu nous dire qui tu es et ce qui t'anime au quotidien ?

Je suis Amélie et j’ai 36 ans. J’ai grandi dans les Yvelines et vis maintenant depuis quelques mois à Annecy. Un rêve d’enfant de rejoindre les montagnes qui me sont chères. Je suis ostéopathe depuis une quinzaine d’années et professeure de yoga depuis 2017. J’aime la vie en général, rigoler et profiter, être en contact avec la nature. J’adore être à l’extérieur et au grand air. J’ai fait de la gymnastique rythmique pendant douze ans, avant de me lancer dans les études d’ostéo qui m’ont fait arrêter ce sport, ainsi qu’une vilaine blessure au genou. Une fois remise grâce à la natation, j’ai intensément pratiqué la danse moderne que j’ai peu à peu diminuée au profit du yoga. Je suis assez sportive et touche-à-tout, avide de connaissances et curieuse, j’aime découvrir plein de nouvelles choses, rencontrer de nouvelles personnes, tout comme j’aime être seule et profiter du silence. Je n’ai pas assez d’une vie pour faire tous les métiers que j’ai envie d'exercer, toutes les activités que j’ai envie d'essayer !

3 mots pour te définir ?

Sensible (très), exigeante et drôle (à l’infini !).

Quelles sont tes racines ?

Je viens de la gymnastique rythmique que j’ai débutée très tôt et qui m’a forgée en détermination, en souplesse et à la conscience du corps. Les blessures du sport en compétition m’ont conduite à rencontrer l’ostéopathie et à en tomber amoureuse jusqu’à en faire mon métier principal. Cet attrait de la guérison du corps s’est naturellement associé à la pratique du yoga dans laquelle je retrouve l’ensemble de mes bases.

Comment et pourquoi es-tu devenue professeure de yoga ?

Grâce à l'une de mes meilleures amies, Mélissa. Elle a débuté le yoga, je l’observais, je la trouvais belle dans la pratique et j’ai eu envie d’essayer. J’ai pris quelques cours et j’ai tout de suite su que j’enseignerai le yoga tant la complémentarité avec l’ostéopathie était évidente pour moi.

Quels styles de yoga enseignes-tu et pourquoi ?

J’enseigne principalement le yinyasa, un mix de yin et de vinyasa. J’aime tout autant l’enseigner en un seul cours que de dissocier yin et vinyasa. Le yin pour son côté relaxant et pour ce plongeon dans les fascias qui ne demandent qu’à être relâchés. Le vinyasa pour le côté punchy, chorégraphié et challengeant. Que ce soit en yoga de la fertilité, pré et post-natal, j’aime cet accompagnement à la limite du thérapeutique dans le sillage des consultations ostéopathiques que je donne.

Que souhaites-tu transmettre et partager lors des séjours Namastrip ?

Ce que le yoga offre par ce temps suspendu des retraites dans toutes ses dimensions et, surtout, la déconnexion. La déconnexion du quotidien, le partage humain, le rire, le lâcher-prise.

Ton plus bel accomplissement personnel et professionnel ?

Il est en cours ;). Celui de sortir de ma zone de confort personnelle et pro, en déménageant auprès des montagnes qui me font tant de bien, et tout redémarrer de zéro.

Tu ne pourrais pas vivre sans...

Mon chat d’amour et la nature.

La dernière fois que tu as ri aux larmes ?

Il y a quelques jours, avec mon amie Émilie, on se regarde, on pense la même chose, ou pas d’ailleurs, et on rit fort !

Ta chanson préférée ?

Il y en a beaucoup mais depuis une semaine : La Foule, d’Édith Piaf.

Ta posture de yoga préférée ?

En yin, sans hésiter, caterpillar, la chenille. En yang, trikonasana, j’adore l’installation dans cette posture, sa complexité et son engagement qui en fond une posture tellement exigeante que sa réalisation en est un délice.

La personne que tu admires le plus ?

Mon amoureux...

Ce qui te donne envie de te lever le matin ?

Aller voir la montagne ☺, respirer et prendre mon petit déjeuner.

Ton mantra préféré ?

On ne voit bien qu’avec le cœur, le reste est invisible pour les yeux, Saint-Exupéry.